Vraiment depuis toujours je n’aime pas les mots, pour plusieurs raisons.
Ils ne viennent jamais quand on les cherche, un peu comme les outils.
Ils sont toujours trop étriqués, comme si tu voulais/devais définir une personne en un mot.
Ils ne sont pas réels, sauf à l’instant à la seconde où tu les prononces, comme la météo qui change et rien enlève le fait qu’il pleut alors qu’il faisait beau une seconde avant ; mais ce n’est plus vrai.
Ils sont fades et usés si tu en abuses comme le noir de ton jean préféré trop lavé.
Ils sont que des traductions d’images de tes pensées et ressentis, comme le rêve que tu essaies de raconter mais que toi seul comprends.
Ils ne viennent jamais quand on les cherche, un peu comme les outils.
Ils sont toujours trop étriqués, comme si tu voulais/devais définir une personne en un mot.
Ils ne sont pas réels, sauf à l’instant à la seconde où tu les prononces, comme la météo qui change et rien enlève le fait qu’il pleut alors qu’il faisait beau une seconde avant ; mais ce n’est plus vrai.
Ils sont fades et usés si tu en abuses comme le noir de ton jean préféré trop lavé.
Ils sont que des traductions d’images de tes pensées et ressentis, comme le rêve que tu essaies de raconter mais que toi seul comprends.
Ils ne sont qu’une mauvaise traduction ou une approximation s’ils ne sont pas explorés et vécus, partagés, comme le pays que tu découvres à travers un documentaire.
Ils sont des prisons si tu ne fais pas attention, enfermés dans ta tête comme dans une cage ou, jetés au hasard comme des fléchettes.
Ils ont une puissance insensée s’ils sont utilisés comme il le faut mais ils ont aussi la puissance de détruire.
Ils sont des prisons si tu ne fais pas attention, enfermés dans ta tête comme dans une cage ou, jetés au hasard comme des fléchettes.
Ils ont une puissance insensée s’ils sont utilisés comme il le faut mais ils ont aussi la puissance de détruire.
Oui le verbe est créateur et est destructeur.
La parole est sacrée bref j’aime les mots.